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Jornalista, por conta de cassação como oficial de Marinha no golpe de 64, sou cria de Vila Isabel, onde vivi até os 23 anos de idade. A vida política partidária começa simultaneamente com a vida jornalística, em 1965. A jornalística, explicitamente. A política, na clandestinidade do PCB. Ex-deputado estadual, me filio ao PT, por onde alcanço mais dois mandatos, já como federal. Com a guinada ideológica imposta ao Partido pelo pragmatismo escolhido como caminho pelo governo Lula, saio e me incorporo aos que fundaram o Partido Socialismo e Liberdade, onde milito atualmente. Três filh@s - Thalia, Tainah e Leonardo - vivo com minha companheira Rosane desde 1988.

quinta-feira, 10 de novembro de 2011

Depois de desqualificar Netanyahu, em conversa vazada com Sarkozy,Obama tenta juntar cacos

Se continuar tentando corrigir de forma oficial, o que comentou com Sarkozy sobre Netanyahu em conversa vazada por microfone inconvenientemente aberto, é Obama que vai merecer o que foi dito sobre o chefe de governo israelense - "Não consigo mais olhar para ele. É um mentiroso", diz o frances, ao que, de pronto, vem a resposta de Obama: "Você já não o aguenta mais, mas sou eu que tenho que aturá-lo todos os dias"-.
Mas não há saída. A interdependência estabelecida nas relações privilegiadas dos Estados Unidos com Israel obriga. Por enquanto, os assessores tratam de aparar arestas. Resta saber como isso resultará nos encontros olho-no-olho seguintes que os dois terão que ter, por conta da política que operam em conjunto no Oriente Médio.
A matéria do LeMonde já dá início à tragicomédia anunciada


Les Etats-Unis tentent de rassurer Israël après les propos off d'Obama

LEMONDE.FR avec AFP | 10.11.11 | 08h40   •  Mis à jour le 10.11.11 | 08h43
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Benyamin Nétanyahou et Barack Obama, à Washington le 1er septembre 2010.
Benyamin Nétanyahou et Barack Obama, à Washington le 1er septembre 2010.REUTERS/JASON REED

La Maison Blanche tente d'éviter tout incident diplomatique avec Israël après la révélation de propos off tenus par Barack Obama et Nicolas Sarkozy lors d'un entretien privé. "Je ne peux plus le voir, c'est un menteur", avait lancé jeudi, lors d'une rencontre bilatérale au sommet du G20 à Cannes, le président français à Barack Obama, en parlant de M. Nétanyahou. "Tu en as marre de lui, mais moi, je dois traiter avec lui tous les jours !" avait rétorqué son homologue américain.

C'est le conseiller adjoint de sécurité nationale américain, Ben Rhodes, qui s'est chargé d'arrondir les angles. Barack Obama "travaille dans une grande proximité avec le premier ministre Nétanyahou. Ils se parlent très régulièrement", a-t-il déclaré mercredi 9 novembre.

"Je pense que le président Obama a passé plus de temps en tête à tête avec lui qu'avec aucun autre dirigeant. C'est lié au fait que les Etats-Unis et Israël ont des rapports très proches sur les questions de sécurité et sur les valeurs", a-t-il ajouté.
M. Rhodes a également souligné que Barack Obama avait passé beaucoup de temps lors du sommet du G20 à promouvoir la position américaine, qui s'oppose aux tentatives des Palestiniens d'obtenir la reconnaissance d'un Etat auprès de plusieurs organisations internationales. LE RÉPUBLICAIN ROMNEY CRITIQUE OBAMA
La Maison Blanche avait éludé mardi les questions portant sur la conversation entre Nicolas Sarkozy et Barack Obama, se refusant à tout commentaire sur le sujet.
La révélation des propos de M. Obama a nourri des critiques aux Etats-Unis, de la part notamment du favori des sondages pour l'investiture républicaine à la présidentielle Mitt Romney. "A l'heure où l'Etat juif est isolé et menacé, il ne faut pas un président américain qui traite avec dédain les liens privilégiés qui nous unissent à Israël", a déclaré M. Romney.

L'échange Sarkozy-Obama, révélé par le site français Arrêts sur image et confirmé à l'AFP, est parvenu aux oreilles de journalistes de façon fortuite.

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